"Ouest France" Un saxophone pour un moment de paix 
"L'Est Républicain" Un saxophone pour prier
"Le Républicain Lorrain" Son saxophone : le cri de la liberté
"Le Provençal" Son saxophone est un pinceau
"Le courrier" Magicien de la musique et de la couleur
"Var Matin" A St Louis : Extraordinaire !
"Centre Presse" Un jongleur doublé de talent
"La Montagne" Un bouleversant concerto d'Aranjuez
"Nice Matin" Saxophone en couleurs
"Ouest France" Architecte du saxophone et de la lumière
"La Montagne" Le musicien architecte

Gérard MEYNIEL et son saxophone (La Nouvelle République) M.-C.HIDALGO
Il s'avance lentement et sa musique jaillit de l'ombre en même temps qu'un faisceau de lumière. Elle se distille, s'éparpille et emplit l'atmosphère. Ombres naissantes dans la nuit de la nef qui se dévoile lentement, tandis que le chœur s'illumine.
Le saxophone de Gérard MEYNIEL se lamente alors, trésaille, gémit, vibre et s'enivre.

Gérard MEYNIEL et son saxophone (Mgr Ed. ABELE)
Et la pensée dépassant la réflexion, s'installe dans chaque esprit, faisant vivre l'inexprimable.

Avec Gérard Meyniel La passion du saxophone (Midi Libre)
Une cascade de notes cristallines et limpides dans le choeur de l'église, c'est Gérard MEYNIEL et son saxophone. Dans une atmosphère de paix, de sérénité, les sons appellent aux sensations pour atteindre le spirituel de l'âme. Le saxophone de Gérard MEYNIEL dialogue avec la guitare, avec le piano et la contrebasse, avec le vibraphone, et les mots qui s'échappent fendent l'espace empreint de sacré.
Par la lumière, par sa musique, Gérard MEYNIEL appelle à l'abandon, dans une communion parfaite entre le public et lui. Le cri est entendu et mélomanes avertis ou simples amateurs se laissent emportés par le son de l'instrument. C'est sans doute ça le "miracle" Meyniel : unir par quelques notes, le temps d'une soirée, connaisseurs et néophytes, avec la même unanimité.

Gérard MEYNIEL et son saxophone, et Jean-Sébastien Bach et Mozart et Gershwin, et la guitare, et le piano, et les claviers, et la contrebasse, et les percussions, les timbales, et le vibraphone, et l'architecture et l'espace, et cette émotion intense, et le son si particulier de ce saxophone, enveloppant, chaud et passionné, qui vous pénètre, vous envahit, vous bouleverse, et cette orchestration claire, précise, élégante, apaisante, et la Musique, et la Lumière !
Un événement !

Et Gérard MEYNIEL commence à jouer. (Françoise Marie SANCHEZ)
Il dialogue avec ses partenaires : la guitare, la contrebasse, les claviers, les percussions.
Il dialogue avec la lumière, l'appelle, la retient, et se fond avec elle. Des pianissimi d'une douceur et d'une tenue remarquable, sur fond rose d'aurore lumineuse, m'ont laissé songeuse.
"Fidèle, précis comme la voix, capricieux, envoûtant, merveilleux", dit-il en parlant de son instrument. C'est pour ces qualités-là et le pouvoir du saxophone, de faire éclater la plus fine sensibilité qu'il a abandonné le violon. Et c'est depuis une belle histoire d'amour avec son instrument, et le public.
Tour à tour tendre, violent, mystique, joyeux, ensorcelant, il tint le public sous le charme.

Gérard MEYNIEL (Dominique DECHEN  "République Var-Matin")
De la musique avant toute chose, et pour cela, ..... la phrase reste en suspens, un grand point d'interrogation plane, dispara ît, réapparaît, Gérard MEYNIEL insaisissable, impalpable, serrant contre lui son Saxophone.
Une personnalité solide, aérienne, sublime comme la musique, comme sa musique. Il croit en la communion entre lui et son public. On écoute son saxophone et l'on s'interroge.
On vibre, on tremble, on est porté par la note : une sublimation musicale envahit le coeur. La note n'est plus la note, elle devient confidence, secret, une manière de respirer le parfum éloigné de notre âme.

Gérard Meyniel : saxophone "en couleurs"
Il y a des mots qui ont perdu leur sens pour avoir été trop galvaudés. Ainsi de la communion, cet état de partage et d'identique respiration qui s'empare des êtres dans la même émotion.
C'est avec son saxophone, ce qu'a redécouvert Gérard Meyniel qui, depuis des années, sillonne "les lieux de paix" de France et d'Europe pour des concerts de recherche de la musique en couleurs, qui ont, partout, été salués avec la même étonnante admiration.
Gérard Meyniel aurait pu être un virtuose parmi d'autres, ajouter sa griffe à celle de tous les faiseurs de concerts traditionnels. Il a fait tout autre chose. Parce qu'il est poète, et que l'anime une volonté folle de persuasion, un désir fou de communication, il a voulu que le public et lui-même respirent ensemble, découvrent ensemble, la sérénité et la paix.

Gérard Meyniel : Architecture, Musique et Lumière à la Cathédrale Saint-Bénigne
HAPPENING... et Musique visuelle.... (Le Bien Public – Les Dépèches  Michel Huvet)
On sait bien la qu ête de Gérard MEYNIEL, musicien : le partage, la communion, l'envoûtement à l'aide des pages les plus géniales de Bach, d'Albinoni, de Moussorsky, mais aussi de Ramirez, de Porter ou de Gershwin. Cela, le disque nous l'a dit depuis longtemps. Mais cela ne serait rien sans deux éléments qui se rejoignent comme des ogives: le public et l'architecture.
Le public nourrit de sa respiration envoûtée l'ardeur du virtuose qui la transmet dans un flamboiement de couleurs.
MEYNIEL ne respire avec son saxophone qu'avec le grandiose du dessin lumineux, ce pinceau harmonique qui traverse la pierre et redessine les sculptures.
Près de 3 000 auditeurs ne s'y sont pas trompés et ont applaudi cette prouesse musicale.

"La Voix du Nord" On admire ses interprétations, la délicatesse de ses teintes, la distinction de son style, la noblesse du son, la clarté de l'articulation, on écoute et l'on se trouble.

"Sud Ouest" Il s'efface derrière son instrument lui communiquant une vie propre, pleine de subtilité et d'émotions.

Michel RIGUAL Les accents de son saxophone éveillent au plus profond de nous-mêmes d'émouvantes sensations, source de paix et de sérénité. Tout semble disparaître autour de soi, et l'on est relié au monde extérieur que par la sonorité si ténue, et si puissante à la fois, du saxophone.

"Le Méridional" Avec Gérard MEYNIEL la musique prend un relief, une puissance surnaturelle qui vous laissent surpris, pantelants, sous une avalanche de sentiments que l'on croyait anéantis par les soucis quotidiens.

Chantal de THUY Sous le faisceau des projecteurs, une voûte d'ogives, une statue, un vitrail, surgissent de l'ombre, prennent relief, vie et couleurs.
Nous ne sommes pas en face d'un son et lumière ordinaire, nous n'assistons pas, mais nous voilà emportés, transportés, envoûtés par la féerie des yeux qui dansent avec la lumière, caressent tel chapiteau, révèlent telle sculpture et nous la font sentir "du dedans" et quand le silence revient, dans la nuit, nous en sentons l'épaisseur et la densité, tant notre être entier a vibré, vogué, volé... ailleurs.

Gérard MEYNIEL et son saxophone : bâtisseurs de cathédrale à coups d'arcs en ciel "Le Courrier de Saône et Loire"
Gérard MEYNIEL ne joue pas du saxophone, il utilise un sax, "précis comme la voix", comme un poète musicien recherchant le langage de la "musique en couleurs".
Avec lui, les murs ont des oreilles. Suffit de savoir les apostropher, sans un mot, à l'aide de lumières explorant leurs volumes ou traînant sur des détails.
Pareille à des graffitis sur un mur de banlieue, pareille à un tatouage sur la peau, l'expression d'une étrange palette colorée, quand derrière tons et nuances s'énoncent non des mots mais des sensations.
Le noir des anars, couleur de l'oubli pour tout recommencer, et redécouvrir le lieu investi, le mauve des pensées que le saxophone porte sur le velours de ses tonalités et de ses harmonies, le vert de l'atome dont l'existence conditionne le tout, le rouge ou l'orange d'une certaine folie, le bleu du ciel à travers la vitre, le marron d'un caillou pour briser le verre et quêter le merveilleux.
Métamorphose !
L'émotion auditive devient émotion visuelle. Le spectacle se réalise. La musique prend du relief, les formes se découvrent sur la portée d'une ligne mélodique, la création semble perception, transcription, et Gérard MEYNIEL avec son saxophone célèbrent sur l'architecture le mariage du son et de la lumière.
Puis ils dérivent. A croire que le soliste et son instrument suivent une mystérieuse étoile filante. Alors ils plantent quelques feux dans une église ou ailleurs, pour l'attirer, capter sa lumière, stopper sa course quelques instants, la montrer au public.
Inhabituel !

Thierry Desseux Saxophone et Architecture : L'univers symphonique de Gérard MEYNIEL